en direct de la grande arche, l'internet des objets

je suis en pleine écoute de Rafi Haladjian, créateur du Nabaztag.

ce que j'en retiens, c'est de faire le tri dans les différentes appellations :

  • objets communicants: concept trompeur avec l'idée de l'émergence de quelques nouveaux appareils supplémentaires.
  • internet des objets : 180.000 Nabaztag vendus ! Le concept doit-il être lié à l'objet ou à ses applications ?

Mais qu'est-ce qu'un objet ?


 

L'objet doit être comme :

  1. un couteau suisse (ex. l'Iphone), avoir des applications (killeuses serait un plus).
  2. "Enhanced object" : le parc se crée en fonction des besoins et surtout en fonction du taux de renouvellement des produits (ex. pèse personne)
  3. "Neo object" : objet non identifié, avec encore de la pédagogie et de l'accompagnement pour une totale prise en main.
  4. "Do it yourself object" : c'est ce qui se rapproche le plus de l'internet, ie, conçu par l'utilisateur. Reste le problème de la réplication. Jolies applications... mais quel usage collectif ?

La stratégie de Rafi et Violet était de faire des objets abordables, miser sur le fun (si en plus, c'est utile !), miser sur le design et "désirabilité" (j'en ai envie, c'est distinctif).

  • intelligente ambiante serait l'appellation la plus juste. Connecter des objets, des lieux, de choses intangibles... c'est qui permet d'englober tout ça. L'apport de l'intelligence et du sens dans le monde dans lequel nous évoluons.

Monde immersif, et l'interface est le monde réel dans lequel nous vivons.

Non à l'avatarisme, donc.

Christiane Tran

nsp